Dans ma tête, les mots : « peur », « avenir », « tuer » s’entre-déchiraient. Ils dégageaient des relents mortifères. La pointe acérée de la dernière lettre du mot « mort » s’enfonçait dans chaque pore de ma peau. J’étais attaquée par un essaim d’abeilles. Était-ce une hallucination ? Encore léthargique, j’avais dû mal lire la phrase.