Ce goût des Islandais pour les refuges enterrés. Les maisons de tourbe. Les bains chauds dans les grottes. Le peuple invisible dans les rochers. Ce besoin d’appartenir au minéral quand les océans grondent tout autour. C’est aussi pour ça que Kornélius est bien chez Ida. Parce qu’elle est bien chez elle. Et bien dans son corps, dont il admire la nudité depuis le lit où ils viennent de faire l’amour.