Soulniz regarde ce paysage de désolation tout autour de lui. Ce paysage qu’il sait être si beau devient soudain hostile. L’eau, un danger froid et fourbe à l’affût du moindre faux pas. Le désert tout autour, un complice immobile et voyeur. Et le ciel au-dessus d’eux recommence à rassembler des nuages comme une meute prête à pousser la rivière au crime.
(page 297)