L'insurrection d'octobre 1934 répond à un processus inévitable au moment où le prolétariat asturien fait son analyse de classe du phénomène fasciste qui considère (et l'histoire lui a donné raison) ne pas pouvoir freiner par des coalitions parlementaires ou des alliances de classe mais, bien plus, en supprimant, à la racine, les bases économiques, politiques et sociales qui rendent possible son apparition. Le fascisme se détruit par la révolution sociale.