Ilchi Lee

Les chakras sont éveillés et activés par l’énergie, qui existe sous trois formes : la lumière, le son et la vibration.
La vibration est la manière la plus rapide d’aborder et stimuler le tronc cérébral, qui contrôle toutes les fonctions basiques de la vie. L’activation des chakras commence par la stimulation de ce même tronc cérébrale. La vibration est l’essence de toutes les activités : toute forme de vie, y compris chaque cellule du corps, a une fréquence vibratoire. Du grain de sable le plus minuscule à l’étoile la plus gigantesque, toute la matière a une fréquence vibratoire unique, caractéristique. C’est la vibration dominante du cosmos qui forme l’essence de l’harmonie grandiose de l’univers, au sein de laquelle le chaos, la création et l’évolution sont générés.
La lumière, le son et la vibration existent dans nos corps. Chacun de nos organes internes a un son qui lui est propre. De même que le cœur bat, le cerveau, le foie, l’estomac, les autres organes s’expriment à leur manière et forment ensemble une belle symphonie.
Grâce à la vibration, le corps peut continuellement effectuer une mue cellulaire, processus normal de la vie. En utilisant le pouvoir de guérison naturelle que nous avons tous en nous, les personnes dont la vibration est saine peuvent se guérir, même quand elles sont confrontées à une blessure ou à une maladie. Si un organe particulier a un problème, il se met à émettre un son discordant. Alors les autres organes composent une symphonie harmonieuse et curative afin de tenter de résoudre le trouble en aidant l’organe malade à retrouver la bonne fréquence.
Toutefois, quand la « voix » harmonieuse du corps est affaiblie ou éteinte, son pouvoir de guérison est compromis. C’est alors que la maladie peut se manifester. Ce sont les pensées négatives qui sont la cause première de l’effondrement et de la formation de notes discordantes au sein des organes du corps.
La formation à la guérison des chakras a pour but d’aider chacun à reconnaître son rythme vibratoire naturel, ainsi qu’à découvrir que ce dernier appartient à la grande symphonie de l’univers.