Cette erreur
n’était pas due aux biais littéraire, idéologique ou de
genre qui l’ont tenue à l’écart des arbres généalogiques
littéraires de la culture égyptienne. C’était une erreur qui
ressemblait à l’oubli et qui ne manquait pas de beauté.
Elle-même aurait peut-être souhaité rester en dehors de
cet arbre.