Quand on marche dans Paris, ce n’est jamais très grave de ne pas alimenter la conversation. La ville s’en charge elle même. Les passants qui hurlent au téléphone, les voitures qui klaxonnent, les commerçants qui discutent avec les clients, les terrasses bondées au moindre rayon de soleil, le bruit des pas, l’entrain collectif sur le béton. A Paris, personne n’est jamais seul.