— Je ne mange pas de poisson, répond Kaleb. Je suis végétarien.
— Pourquoi ? s’étonne Faroudja.
— Pour des raisons qui pourraient bien t’apparaître évidentes un jour. Disons, par « sensibilité » si tu vois ce que je veux dire ?
— Ah ? Oui, je peux imaginer, mais ça m’ennuierait de ne plus pouvoir manger de viande. J’aime tellement ça !
— Au contraire, quand tu comprendras comme moi la souffrance animale, c’est en manger qui te posera problème.