La nuit suivant les funérailles, ils déterraient le cadavre changé en zombie et le ressuscitaient par une raclée monumentale. "Je suppose que tu ne crois pas à ces balivernes !" dit Valmorain en riant un jour qu'ils parlaient de cela. "Croire, non, monsieur ; mais les zombis existent, c'est sûr", répondit le gérant.