Isabelle Bauthian

Pour avoir trop connu l’épouvantable peur d’en être fou malgré son sourire trompeur. J’ai vu le vrai héros qui se surmonte et le criminel timide qui trouve enfin impunément l’occasion du crime, celui-ci et celui-là sous la même palme. J’ai entendu les hymnes prendre feu bout à bout. Ange, ton sac est-il plein d’ailes de rechange ? Mon cœur vers le tien inaugure un nouvel appareil Garros. Mon petit Raymond, mon cher petit. Le faux col encoche le faune. Je vous salue ici, ô mon prédécesseur.