Chaque soir quand elle se retrouve devant sa machine à écrire, elle se sent vivre.
Écrire c'est une très grande liberté, j'y ai trouvé la justification de vivre. Si je n'écris pas, je ne suis pas capable de sortir, de voyager, d'aimer...
Plus besoin de se lover sous la table pour recer, il suffit de s'asseoir devant une machine à écrire et de laisser déferlertous ces mots sur la page blanche, équinoxe pressée d'avoir été si longtemps retenue.
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L'art sera vivant quand le dernier artiste sera mort.