Souvent, en face de ces vieux mendiants de l'islam, aveugles et caducs, je me suis arrêtée, me demandant s'il y avait encore des âmes et des pensées derrière ces masques émaciés, derrière le miroir terne de ces yeux éteints... Étrange existence d'indifférence et de morne silence, si loin des hommes qui, pourtant, vivent et de meuvent alentour!