malgré la tristesse profonde qui envahit mon cœur, ma rêverie n’est point désolée ni désespérée. Après ces derniers mois si tourmentés, si incohérents, je sens mon cœur trempé à jamais et invincible désormais, capable de ne point fléchir, même à travers les pires tempêtes, à travers tous les anéantissements et les deuils.