Lucie poursuit : bien avant la guerre déjà, à la Belle Epoque, elle en était, de celles qui lisaient La Fronde, qui se rassemblaient pour la liberté, l'égalité et la fraternité, une question de bon sens, d'harmonie entre les sexes, entre les peuples même, pourquoi pas. Le suffrage des femmes, qui sait, aurait peut-être pu empêcher la guerre...mais puisqu'il en a été décidé ainsi, les hommes au front et leurs compagnes à l'arrière, il a bien fallu qu'elles livrent bataille à leur manière n'est-ce pas ? (p. 48)