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Citation de Cannetille


Déjà au IIe siècle, Claude Galien de Pergame alertait : « La femelle est plus imparfaite que le mâle pour une première raison capitale, c’est qu’elle est plus froide. » Tous les médecins s’accordent sur ce point : les organes féminins sont fragiles et influent sur le cerveau, pour preuve, il a souvent été nécessaire d’avoir recours à l’hystérectomie pour calmer les dérèglements. Dieu sait si j’évitais feu mon épouse Adélaïde de Mercueil quand elle était sujette à ses menstrues. Pardonnez ma pédanterie si j’en réfère au docteur Murat qui, en 1812, pointe « l’entier empire du viscère (l’utérus) sur les actions et affections de la femme » dans son Dictionnaire des sciences médicales. Propos corroborés dans le Dictionnaire de la médecine pratique de 1914 : « De l’orifice génital suintent en permanence des humeurs douteuses. Pour pallier cette source d’infection, rien ne remplace la semence mâle. » Or je ne m’explique pas – sinon par symptôme de dégénérescence – qu’à l’heure où plus personne n’ignore les faiblesses congénitales du sexe féminin, il leur soit accordé autant de liberté. Il est grand temps de relire Nietzsche : « Elles sont une propriété, un bien qu’il faut mettre sous clé, des êtres faits pour la domesticité et qui n’atteignent leur perfection que dans une situation subalterne. » Ou Émile de Jean-Jacques Rousseau : « Toute l’éducation des femmes doit être relative aux hommes. Leur plaire, leur être utiles, se faire aimer et honorer d’eux, les élever jeunes, les soigner grands, les consoler, leur rendre la vie agréable et douce : voilà les devoirs des femmes dans tous les temps, et ce qu’on doit leur apprendre dès leur enfance. »
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