Gaie comme une mouette, Mikissuk rit souvent aux éclats.
Surtout avec Sorqaq, son grand frère, qui fabrique pour
l'amuser toutes sortes de jouets en bois de caribou.
Ses petits pas collés aux siens, elle n'a peur de rien.
Sa grande main autour de la sienne, il se sent fort
comme un ours blanc.
Sais-tu qu'il n'y a pas que dans les contes que les calebasses font de la musique ? Remplies de graines séchées ou de petits cailloux, celle-ci deviennent, sous le nom de maracas, de joyeux instruments de percussion qui rythment les danses sud-américaines et que l'on utilise touours par paire.
La jeune fille qui aimait le chant du balafon
Conte du Burkina-Faso
...Quand elle fut sur le point d'être rejointe, la jeune fille s'arrêta et reprit sa chanson. L'hyène lui répondit de nouveau en chantant et en dansant, et Téné se remit à courir.
C'est ainsi que, petit à petit, elle parvint à se rapprocher de chez elle.
Au moment où l'hyène finit par lui bondir dessus, elle était toute proche de sa maison et réussit à se glisser par la porte. Mais l'hyène eut le temps de lui griffer le dos...
Ce sont ces traces que nous appelons les côtes et qui sont encore visibles sur notre dos.
Depuis cette étonnante aventure, le jour de la Saint-Nicolas, lorsque le vent hurle au-dessus des forêts danoises et chasse devant lui les lourds nuages d'orage, parmi les éclairs et les coups de tonnerre, s'élèvent parfois des sanglots déchirants.
Proverbe swahili
Un tambour qui bat fort ne tarde pas à se fendre.
Instrument traditionnel de bretagne, le biniou occupe une place de choix dans l'argot des musiciens. Surtout utilisé par les contrebssistes et les violoncellistes, il désigne familièrement n'importe quel instrument d'un volume important et transportable par une seule personne
Bateau, n'aie pas peur de cette eau,
Plonge dedans comme un oiseau,
Et te relève aussitôt.
Mais crains et fuis les rochers,
Car si tu vas les trouver,
Sois sûr d'être brisé.
A l'aube des temps, les Jivaros ignoraient l'usage du feu. Faute de mieux, ils réchauffaient leur nourriture dans le creux de leurs aisselles, faisaient tiédir les dures racines de yucca dans leurs bouches et cuisaient les oeufs en les exposant aux ardents rayons du soleil.
Au Népal, les arbres avaient jadis coutume d'épouser les fleurs. Lorsqu'un arbre désirait se marier, il allait trouver un banian, une variété de figuiers à l'écorce gris pâle. Afin de choisir une fiancée, il lui demandait alors de lui présenter plusieurs fleurs.
Dans la nuit des temps, un dragon blanc vivait tout seul au fond d'une caverne éclairée par une lanterne. Très paresseux, il adorait faire la sieste blotti dans les cieux sur des nuages bien moelleux.