L’œil du faucon perçoit un insecte sur le sol à cent mètres de hauteur.
Le faucon pleure, il pleure des larmes assez consistantes pour protéger ses yeux des grains de sable qui pourraient les lui crever, lorsqu’il fond sur sa proie à trois cents kilomètres à l’heure.
À cette vitesse, les larmes humaines sécheraient aussitôt. Pas celles du faucon.
Ses larmes le protègent, et sa vision panoramique du monde qui s’ouvre à cent soixante degrés.