(Avrom Hersh) avait beau savoir que tous les prodiges ont tendance à se comporter de la sorte, il n’en était pas plus rassuré pour autant. Il vaut mieux obéir à Dieu qu’être bon élève, pensait-il, être borné mais pieux plutôt que savant avec une foi chancelante.
(…)
Il avait hâte que son fils soit rompu aux contraintes du Judaïsme.