« Vous êtes jeune, dit l’autre d’un air compatissant, autrefois je pensais comme vous. Mais ils nous rosseront toujours. Quand on a installé des machines nouvelles à Lodz, ils nous ont rossés ; quand des étudiants russes ont assassiné le tsar, ils nous ont rossés ; maintenant c’est au tour des ouvriers. Plus tard ce sera les révolutionnaires. Et jamais rien ne changera tant que nous serons juifs et eux chrétiens. »