Cela faisait une éternité que je n'avais pas mangé un repas préparé par quelqu'un d'autre. (....)*C'était parce que la mère de Kuma les avait préparés avec soin, en pensant à nous. J'avais l'impression de manger non pas des grains de riz, mais l'amour d'une mère. (p. 165)