Devant Sosûke et Chiyoko qui s'amusaient en poussant des cris, soudain, je n'ai pas pu m'empêcher de pleurer. J'avais beau m'obstiner à sécher mes larmes, elles me montaient aux yeux. S'amuser en famille un dimanche au parc : j'ai subitement réalisé combien ce bonheur banal était un luxe.