Je ne pleurais pas, ne m’abandonnais pas au désespoir, ne me demandais pas quand et comment cela s’était produit, ne m’étonnais point de ne pas m’en être douté plus tôt, n’accusais même pas mon père...Ce que je venais d’apprendre était au-dessus de mes forces... J’étais écrasé, anéanti... Tout était fini... Mes belles fleurs gisaient, éparses autour de moi, piétinées, flétries.