"Il ne faut pas qu'on m'entende. La maison regorge encore d'employés. Il va s'arrêter. Je me le répète intérieurement mais la douleur dans mes côtes devient insupportable. A chaque fois qu'Acher se trouve dans cet état, le même schéma se reproduit. Je devrais commencer à m'y faire. M'habituer à ne plus rien ressentir. Et pourtant chacun de ses coups m'arrache un cri que j'étouffe."