"Il ne faut pas qu'on m'entende. La maison regorge encore d'employés. Il va s'arrêter. Je me le répète intérieurement mais la douleur dans mes côtes devient insupportable. A chaque fois qu'Acher se trouve dans cet état, le même schéma se reproduit. Je devrais commencer à m'y faire. M'habituer à ne plus rien ressentir. Et pourtant chacun de ses coups m'arrache un cri que j'étouffe."
Elle n'a pas ce sentiment de trahison que je ressens. Maman n'a pas le droit de nous faire ça, pas comme ça. Moi aussi, elle va arrêter de m'aimer du jour au lendemain?