Une demi-seconde plus tard, j’ai entendu l’impact visqueux de la cartouche de gros calibre pénétrant un crâne. Le cycle était lancé : tir de silencieux, impact dans le crâne, puis son d’un corps s’écroulant sur le trottoir. A la manière d’un solo de batterie post-apocalyptique, cette séquence s’est répétée jusqu’à ce que plus aucun macchabée n’avance.