Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre [...] Chaque matin, il regardait l'œuvre de la veille en se disant que cela était bon, car il n'avait pas encore créé la modestie. Enfin, le septième jour, au paroxysme de cet élan creatif (et pour cause), Dieu inventa la farniente. [...]
Dieu se dit que cela était superbon, et depuis on n'a plus de nouvelles. (p. 36)