En 1856, le traité e Paris avait supprimé la guerre de course faite par des particuliers, mais les puissances signataires s'étaient réservées le droit de commissionner, comme croiseurs auxiliaires, ,tous bâtiments de commerce qu'il leur plairait d'utiliser. En fait la guerre de course subsiste donc comme par le passé, étant entendu seulement que les prises sont propriété de l’État.