Vous m’avez alors appris que selon Einstein, le temps était comparable aux méandres d’une rivière où nous voguerions tous. Autour de nous, à mesure que nous avançons sur les flots, nous ne voyons que le présent. Mais au détour des méandres que nous avons laissés derrière nous, le passé continue d’exister. On ne le voit plus, mais il n’a pas disparu pour autant. Il est là, et bien là.