Dès que Zéphyrine posa le pied à Nombre de Dios, elle comprit qu'outre sa laideur l'endroit avait un climat torride et malsain, qu'il était infesté de moustiques et sans eau potable.
Les cabanes puaient. Le sable lui-même dégageait une odeur pestilentielle. Mais, comme disait demoiselle Pluche : « Il ne faut pas se plaindre, Madame, nous sommes sur terre au lieu d'être sous l'eau ! »