non, je n’ai rien à dire, personne n’a rien à dire, rien ni personne sauf le sang, rien sinon ce va-et-vient du sang, cette écriture sur l’écrit, cette répétition du même mot au milieu du poème, syllabes de temps, lettres cassées, gouttes d’encre, sang qui va et vient et ne dit rien et m’emporte avec lui