Notre espèce doit en particulier définir des biens publics mondiaux dont la résilience est absolument essentielle à sa survie, tels l'air, l'eau, l'énergie, les sols arables. Elles doit les sanctuariser, et, si cela devient nécessaire, les exclure de la loi du marché pour les mettre au service de l'humanité.