Le modèle de l’agence onusienne prédit que les taux de fertilité vont converger vers un quasi-remplacement des populations vers 2100. Or la transition démographique entraîne mécaniquement un vieillissement de la population, ce qui est plutôt une chance qu’un fardeau, contrairement au credo des politiciens qui sont obnubilés par la croissance économique.