Christian Galantris cite ce règlement d’une bibliothèque anglaise de 1863 : « La parfaite maîtresse de maison veillera à ce que les oeuvres des auteurs hommes et femmes soient décemment dissociées et placées sur des rayons séparés. Leur proximité sauf à être mariés ne pouvant être tolérée »
(p.64)