La Sologne, presque inhabitée, est une réserve de silence : terres sablonneuses, taillis ajourés que font les bouleaux et les aulnes ; parfois un groupe sombre et déchiqueté de pins dans les branchages légers ; une nappe d'eau, au ras du sol, concentré de paix, vive clairière de recueillement ; et l'air grave de ces choses presque immatérielles.