C'est une tentative d'histoire "à chaud" : faire paraître un écrit six mois après des événements tumultueux demandaient la grande rigueur de Jacques Fauvet .
Sans doute, je regrette que la part prise par les appelés pour faire échouer la rébellion ne soit plus approfondie.
C'est encore une "histoire" qui s'écrit avec les "chefs" ; c'est pourtant bien la mobilisation immédiate dès le samedi 22 avril à 8 heures du matin des milliers d'appelés, de pitons en PC, qui fut la cause déterminante du non-ralliement de l'armée.
À quand une histoire de ces milliers d'anonymes dont je fus ?
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