J'ai encaissé, Monsieur, vos uppercuts et vos crochets du gauche. De votre droite, vous m'avez cueillie. Vous m'avez mise K.O. cette nuit. Vous m'avez envoyée, Monsieur, au tapis. Je suis tombée comme blé qu'on fauche. J'en avais assez, Monsieur, de la lutte. Et quand j'ai voulu jeter l'éponge, après le gong, comme dans un songe, vous avez, Monsieur, repris le combat. Et donné, donné des coups bas. Moi, dans ce furieux corps à corps, j'ai crié, Monsieur, encore, encore...