Parlons-en justement… Vous n’êtes qu’un faussaire et vous le savez bien.
De grand talent, certes, mais un faussaire quand même. Qui n’a continué à exister sous un nom d’emprunt, que grâce à ma protection et mes relations dans certains cercles financiers.
Un avatar qui a l’illusion que sa propre peinture peut se vendre alors que sa cote factice n’est entretenue que par mes associés, dans ce fructueux trafic de faux tableaux que vous et quelques autres exécutiez sur commande !
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