Les quatre hommes viennent de pénétrer dans un immeuble aux fenêtres murées de briques grises voilées de pluie. Ils ont emprunté une ouverture de cave qui passe entre deux tertres d'herbe sale, une bouche emplie d'ombre qui les avale un à un.
On les appelle les violeurs de l'autoroute. Eux doivent se considérer comme des pirates des temps modernes.