« Au noir vitreux des heures, la lente cycloïde du temps fait onduler l’Églantine convulsivement agrippée aux grelins du grand mât. Amère délice de saint Sébastien, cette agonie procure une macabre volupté dernière, le vent a pour guitare un cercueil d’harmonie et le gréement grelotte et grince sous la grêle. Le Néant rôdaille, il avance son museau abscons, il approche, à chevauchons, sur son araignée de cérémonie. L’Épouvante transfigure l’Églantine, les bras en croix dans les haubans, frisés d’un tremblement léger, laiteuse, elle jouit. »