Il détestait les festivités publiques, les réjouissances populaires, les cortèges et les retraites aux flambeaux, la musique, la danse et les mascarades. Et vu qu'en basse Franconie, les bonnes gens avaient depuis toujours la vie et ses plaisirs lascifs chevillés au corps, le début de son magistère ressembla immédiatement à une attaque de gel dans un jardin en fleurs.