Quand j'ai vu mon frère couché dans le lit de l'hôpital, mourant de cette maladie, il avait les yeux fermés, il était endormi (…) ; ses mains reposaient sur sa poitrine, l'une par-dessus l'autre, juste sous le menton, dans cette pose pieuse des morts, mais il n'était pas mort à ce moment-là.