Si je sens le plafond de la mort au-dessus de moi, je l’accepte en même temps pour la première fois et je la regarde même sans crainte. La mort a toujours été pour moi la sensation de turbulences en avion, le fait de heurter le bas-côté de l’autoroute. [...] Plus maintenant. Elle existe, c’est tout. Je l’ai vue, et c’était acceptable.