Dans l'ensemble, les gens s'étaient montrés plus dénués de ressources, de faculté d'adaptation et moins prévoyants que les animaux sauvages. L'instinct profond qui pousse l'être à lutter pour la vie se trouvait en eux tellement émoussé, tellement dégradé par des mécanismes destinés à satisfaire leurs besoins secondaires, qu'ils n'étaient plus capables d'assurer leur propre défense.