Puis, à seize ans, je découvris Freud et les surréalistes, chapelet de bombes qui s'abattit juste devant moi, détruisant tous les ponts que j'hésitais à traverser.(...) J'avais la nette impression, je l'ai d'ailleurs toujours, que la psychanalyse et le surréalisme ouvraient les portes de la personnalité humaine et de la vérité de l'être, mais aussi mes portes personnelles.