Je tournai sur Magazine et continuai mon chemin à pas lents, quand je réalisai que ce monde qui virevoltait autour de moi, cette vie , étaient un monde et une vie que je ne connaîtrais jamais. Foyers et familles que l'on quittait et retrouvait plus tard, travail quotidien, salaire, routine, rendez-vous, sécurité. La vie d'un poisson m'était à peine plus étrangère. Je ne savais pas ce que ça signifiait, je ne savais pas ce que j'en pensais, mais je savais que c'était ainsi. ( p 109 / 110 )