J’ai appris le chinois avant d’aller en Orient, j’en ai profité pour apprendre aussi le japonais, du moins vaguement. Quand on m’a muté au Japon, je n’ai pas eu beaucoup de difficultés à parler la langue. Ils ont les mêmes idéogrammes que les Chinois, à quelques nuances près ; ce qui diffère le plus c’est le langage parlé.