En deuxième secondaire, quinze élèves ont même tenté de le tuer en unissant leur force pour faire tomber une rangée complète de cases sur lui. Jonathan fut sauvé in extremis par une surveillante de passage. Il aurait pu être gravement blessé ou, pire, mourir. Les divers intervenants et les professeurs n'arrivaient pas à trouver de solutions durables à ce problème récurrent. Certains enseignants et directeurs ont même participé aux attaques verbales en traitant Jonathan de «Fif» devant les autres élèves, et quelques-uns ont poussé l'audace jusqu'à le faire à bureau fermé.
Pages 114-115
"Fif" au Québec est un mot dévalorisant pour un homosexuel.