Elle continua d'être une amatrice invétérée de romans, mais pendant des années elle ne toucha plus aux romans du XIXe; elle ne lisait pas non plus de nouveautés et ne parlait avec personne de ce qu'elle lisait, comme si la lecture était pour elle une activité exclusivement intime, un plaisir confidentiel, de la même manière qu'elle l'avait été pour son père avant qu'il rencontre sa mère.