Ce fut donc en amateur convaincu de l'art japonais et aussi en peintre totalement libéré de l'obscurcissement passager de sa palette contracté chez Bonnat que Toulouse-Lautrec revint à la lithographie en 1891, après son unique essai de 1885. Délaissant provisoirement le noir et le blanc, c'est la couleur qui le tente. En 1891 et 1892, il n'exécute que des affiches et des lithographies en couleurs.