Entre l'extrême fin du XIXème siècle et les années 1920,- le printemps 1924 pour être tout à fait exact-, au rythme de son cheval tirant sa carriole, Jean-Baptiste Boudeau a sillonné une quarantaine de communes, livrant des produits d'épicerie à une clientèle châtelaine et bourgeoise dans les cantons hauts-viennois d'Ambazac, de Saint Léonard de Noblat, de Bessines, de Laurière, et dans les environs de Limoges.
Jean-Baptiste Boudeau, en arpentant les routes et les chemins d'une grande partie de la Haute-Vienne et de quelques communes de la Creuse, nous a légué un véritable trésor.